Pas de doute, Bommiers connut entre 1855 et 1859 une vague de morts surnuméraires… dont le docteur Jules Jugand, chirurgien des hospices d’Issoudun, livra le secret dès 1861 : une épidémie d’angine couenneuse (ou diphtérie, aussi appelée « croup » à l’époque) ravagea le département de l’Indre, lequel avait connu des inondations suivies d’une forte sécheresse favorisant la propagation de « miasmes infectieux » (voir https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5540859p.r=jugand20angine%20couenneuse?rk=21459;2). Sans cette fichue épidémie, Pierre Pichon n’aurait pas perdu sa femme et, de ce fait, il ne se serait jamais remarié avec Marie Ribault et, de fil en aiguille, Marcelle Pichon ne serait jamais née…